Vous ne recherchez sans doute pas des informations sur les psychologues ou les thérapies par hasard… et quelle que soit la raison qui vous pousse à consulter, elle mérite d’être prise en compte.
A titre informatif vous trouverez ci-dessous quelques raisons souvent rencontrées qui peuvent amener à consulter, ce qui ne constitue certainement pas une liste complète pour autant : quelle que soit votre difficulté et votre âge, le psychologue vous aidera à la préciser et à identifier le bon professionnel pour votre besoin. Si vous avez le moindre doute, vous pouvez me contacter avec ce formulaire.
La souffrance psychique ou douleur morale
C’est souvent une souffrance morale (tristesse, abattement, mélancolie, perte, deuil) ou une inquiétude (stress, anxiété, angoisse, insomnie), qui amène à consulter. L’origine n’en est pas toujours connue, ou encore on a pu penser la connaitre et puis il s’avère qu’elle persiste au fil des mois et des années, au delà des situations et des personnes rencontrées.
Les mots du psy : Tristesse , dépression, déprime, aboulie, asthénie, fatigue, insomnie, angoisse, anxiété, idée obsédante, obsession, pulsions et compulsion, rigidité, douleur physique, phobie, handicap physique, maladie chronique, perte d’autonomie, deuil, isolement
Les symptômes psychopathologiques
La souffrance morale est présente également quand nous sommes aux prises avec un symptôme devenu trop pénible : dépression majeure, phobies diverses, obsessions, manie, rituels, stratégies d’évitement, trouble alimentaire, troubles somatique/physique déclenché ou majoré par des contextes psychologiques, vécus psychotiques comme les voix (hallucinations accoustico-verbales) ou des perceptions inquiétantes…
Les mots du psy Apathie, aboulie, asthénie, apragmatisme, isolement, angoisse, anxiété, phobie, névrose, hystérie, psychose, trouble bipolaire, délire, schizophrénie, sentiment de persécution, phénomènes psychotiques, voix, hallucinations verbales, hallucinations accoustico-verbales, hallucinations coenesthésiques, hypomanie, manie, phases maniaques, excitation, TOC, Trouble Obsessionnel Compulsif
La douleur et le handicap physique
Parfois cette inquiétude ou cette souffrance morale ont une cause clairement identifiée mais contre laquelle nous sommes totalement impuissants. C’est le cas de situations de douleurs physiques parfois chroniques, de maladies récurrentes ou chroniques, de situations de handicaps, de perte d’autonomie, de traumas, de deuils.
Les difficultés de couple ou dans la famille, les relations de travail
Les relations interpersonnelles sont au premier plan de notre existence : avec nos parents, nos frères et soeurs, nos proches et nos enfants bien sur, mais également dans notre univers professionnel. Ruptures, familles « recomposées », divorce, harcèlement, surmenage ou « Burn out », ennui et dévalorisation ou « Bore out » Ce sont des causes majeures de souffrance qui arrivent parfois à un stade impossible à dénouer ou réparer par nos propres moyens.
Les conséquences sociales, l’échec scolaire ou professionnel, l’isolement
La douleur morale ou physique, la maladie psychique, le handicap ou la maladie chronique, les « accidents de la vie », les conflits avec nos proches peuvent tous être à l’origine d’autres difficultés plus « sociales » qui surgissent en cascade et influent insidieusement ou radicalement sur notre équilibre psychique, nos capacités d’adaptation et d’apprentissage, notre situation sociale. Ces situations de précarisation sociale sont également facteur de fragilisation psychique.
Les raisons existentielles et le développement personnel
Il n’est pas nécessaire d’avoir un motif « grave » pour consulter un psychologue. Parfois il ne s’agit « que » d’une difficulté que nous ne savons pas bien régler seul, ou pour une souffrance, un mal-être inexplicable rationnellement. Ou encore une question ou une situation qui persiste malgré nos efforts, que nous ne voulons pas évoquer avec nos proches. Il est légitme de demander à rencontrer un psychologue pour qu’il nous aide à faire le point sur une situation complexe ou difficile pour nous.
On peut également consulter un psychologue clinicien dans une visée d’épanouissement personnel, d’orientation, de réalisation de soi. Ou encore pour y aborder des questionnements existentiels comme l’identité, la sexualité, la relation, la parentalité, le stress, la transmission, la solitude, la maladie, le deuil, la vieillesse, la mort.
De quelle manière cela va-t’il se passer ?
En plus des raisons qui vous amènent à consulter, vous avez peut-être certaines attentes, voire une idée de ce que vous ne voulez pas ! Vous trouverez quelques précisions sur ma manière de travailler dans les rubriques « Soins et thérapies », « Première rencontre » et « Informations pratiques ». Si ce que vous y trouvez ne vous convient pas, vous pouvez vous renseigner sur d’autres approches et d’autres professionnels dans la rubrique « S’y retrouver ».
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